ereklebarvშენ არ დაწერე რომ ქსეფარნუგი სხვა ქვეყნის მეფეა ?
ქსეფარნუგი და ფარსმანი ერთდროულად მიხსენებული არიან მეფეებად , ასევე აგრიპა ფარსმანის აზოს მოძღუარი.
ბერძნულ ტექსტში " იბერიის დიდი მეფისა " არამეულ ვარიანტში " ფარსმანის დიდი მეფისა " ნაცვლად სწორი იქნება " იბერიის დიდი მეფისა"
ასევე ერთენოვან წარწერაში " ფარსმანი მეფის ძე " ნაცვლად " იბერიის მეფის ძე" იქნება სწორი .
იქ სადაც არამეულ ვარიანტში ფარსმანი 2 ჯერაა ნახსენები და ბერძნულში საერთიდ არ იხსენიება უკვე ეჭვი უნდა გეპარებოდეს რატომ იხსენება სახელი იბერია ბერძნულში და არამეულში არა ?
არამეულ სამყაროსთვის ალბათ იბერია გაიგივებული იყო განთქმულ ფარსმან მეფის სახელთან ამიტომ მოდის ეს სახელი "prsmn" იბერიის აღმნიშვნელად .
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ფრანგული ცუდად ვიცი და ოდნავ შინაარსს ვგებულობ . აქ წერია ამ ერთენოვან სარგასის სტელაზე .
Les sources grecques et latines n’attestant l’idée d’un règne conjoint de deux rois que
pour les années 370 de notre ère50, il est possible que le chroniqueur médiéval ait interprété le
partenariat entre un roi et son prince comme une diarchie. Sur le plan de l’onomastique, Rok
pourrait tout-à-fait être compris comme une déformation du nom d’Asparug. La localisation du
siège du pouvoir de Rok sur l’acropole d’Armazi, au sud du fleuve Mtkvari, pourrait
éventuellement s’accorder avec le domaine du prince Asparug, à condition que celui-ci fût un
prince d’Ibérie et que Mskyt soit identifié avec Armazi ou une cité ibère voisine, ce qui est loin
d’être certain. La validité de ce témoignage de la Liste Royale I n’est certes pas assurée, et la
similitude des noms pourrait fort bien n’être qu’une pure coïncidence ; ce document mérite
cependant d’être signalé, ne serait-ce que pour souligner l’importance qu’occupait le prince
siégeant à Armazi. En soumettant Asparug et en revendiquant son propre pouvoir sur la capitale
des rois d’Ibérie, Śargas affirme qu’il prend la seconde place du royaume auprès du souverain
et unifie tout le pays sous l’égide royale.
Dominer et soumettre furent donc une affaire de mots après avoir été une affaire
d’armes. La stèle de Śargas avait pour vocation à transmettre une mémoire princière à travers
les âges. Il vint un temps où cette mémoire s’éteignit. La stèle des victoires ainsi que la pierre
tombale de Sèrapeitis furent ainsi utilisées en remploi pour la tombe n°4 de la nécropole
d’Armazisxevi, datée de l’époque tardive51
. Or c’est au cours des années 260-290 que peut être
située la révolution mihranide, marquée par un changement dynastique qui vit arriver sur le
trône ibère une nouvelle lignée soutenue par les Sassanides. Ce bouleversement politique se
refléta de manière frappante dans la culture matérielle de l’Ibérie tardo-ancienne : l’épigraphie
princière en grec et en araméen disparut au profit du moyen-perse, les monnaies romaines
sortirent de la circulation pour laisser place à des monnayages représentant les souverains
iraniens. À l’image des anciennes stèles princières remployées dans les sépultures, l’ancienne
mémoire officielle fut littéralement et symboliquement enterrée, condamnée à l’oubli. Le farr
des rois, en perte de sens face aux mutations du monde tardo-ancien, devait renouveler ses bases
de légitimation comme ses formes d’expression, et trouva une réponse innovante dans la
თანაც რა ლამაზი რუკა მიკრულია))
პარიადრის მთებითურთ ფარავნის ტბასთან )))